Rencontre avec Maître Paul BRENDER, avocat, membre du Conseil de l’Ordre des avocats et président de l’Incubateur du barreau de Rennes

Paul Brender

Maître Paul BRENDER a prêté serment en 2013. Il est associé au sein du cabinet Adaltys Avocats depuis 2023 et cogère le bureau de Rennes. Le cabinet Adaltys Avocats regroupe plus de 120 personnes et dispose d’implantations en France avec des bureaux à Rennes, Paris, Lyon, Marseille et Bordeaux, et en Chine, avec deux bureaux à Pékin et Shangai. Le bureau de Rennes compte deux avocats associés et quatre avocats collaborateurs. Son activité couvre l’ensemble des besoins en droit privé et public des professionnels et particuliers, avec une orientation vers les nouvelles technologies, l’innovation, les brevets et l’international.

Maître Paul BRENDER est membre du Conseil de l’Ordre du Barreau de Rennes depuis 2023. 

Avocat privatiste et ingénieur brevet, Maître Paul Brender dédie le cœur de son activité à l’accompagnement de l’innovation et de la création. Il accompagne les start-ups, PME et ETI sur toutes leurs problématiques de propriété industrielle (brevets, marques, dessins et modèles), de propriété littéraire et artistique (droit d’auteurs et droits voisins) mais également en droit du numérique (data, contrats informatiques), en droit commercial et en droit des médias (audiovisuel notamment), que ce soit en conseil comme en contentieux.

Compte tenu de son appétence pour l’innovation et les nouvelles technologies, il a présidé l’association de l’Incubateur du Barreau de 2018 à 2024. Cet incubateur a vocation à accompagner les avocats dans le développement d’outils numériques innovants.

Maître Paul BRENDER est également chargé d’enseignement à la faculté de Rennes, en « contrat de transfert de technologies » au DJCE et en « contentieux européen de la propriété industrielle » en Master II Droit de l’UE.

Afin de répondre aux questions que vous vous posez sur les avocats, le Conseil de l’ordre, le droit international et les nouvelles technologies, Maître Paul BRENDER présente son parcours et ses activités.

Pourriez-vous nous dire quel métier vous souhaitiez exercer quand vous étiez enfant ? 

Rien à voir avec le droit : ingénieur des eaux et forêts.

Pourriez-vous nous expliquer quelles études vous avez suivies ?

J’ai effectué une licence de droit et de biologie. Ensuite j’ai fait deux Master 1 la même année, le Master droit européen et droit international économique de Rennes en parallèle du Master Environnement et droit, puis en Master 2 en droit Européen et droit international et économique. Afin de me former aux nouvelles technologies, j’ai fait un deuxième Master 2 en droit des affaires technologies et innovations. 

J’ai obtenu mon certificat d’aptitude à la profession d’avocat (CAPA) et prêté serment en 2013 avant d’obtenir mon DU d’ingénieur brevet du Centre d’Etudes Internationales de la Propriété Intellectuelle à Strasbourg en 2016.

Quel est votre parcours professionnel ?

J’ai tout d’abord exercé à Paris dans un cabinet franco-anglais, spécialisé dans la distribution, la propriété industrielle et le numérique, au sein du pôle droit et économie. Quelques années plus tard, j’ai créé Seed avocat afin d’accompagner les acteurs de la création artistique et de l’innovation. Il s’agit d’une clientèle de start up, de Petites et Moyennes Entreprises (PME), d’artistes, d’auteurs… Mon travail se répartit entre la gestion des contentieux (40 %) et le conseil (60%).

Après 4 ans chez Seed Avocat, j’ai rejoint le bureau de Rennes du cabinet Adaltys Avocats, en tant qu’associé. Ce cabinet dispose d’une activité orientée vers l’international avec des implantations en France, et en Chine avec des bureaux à Pékin et Shangai.

En plus de mes compétences juridiques, je suis ingénieur brevet en biologie /chimie. Cette double compétence est très utile, puisque je peux accompagner les inventeurs depuis le dépôt de leur brevet jusqu’à l’action en contrefaçon pour défendre celui-ci. Dans ce domaine, il est nécessaire d’avoir une bonne connaissance technique et juridique afin d’appréhender tous les aspects et enjeux de l’affaire.

Quels conseils donneriez-vous aux étudiants qui s’interrogent sur le fait d’aller travailler à Paris pour avoir de meilleures opportunités de collaboration ?

Au cours de mon expérience professionnelle à Paris et à Rennes j’ai remarqué que la collaboration libérale n’est pas nécessairement plus intéressante à Paris qu’à Rennes, notamment sur les aspects transmission de savoir et évolution de carrière. 

Par conséquent, je dirais aux étudiants que, contrairement à ce qu’ils pensent, il n’est pas nécessaire de commencer à Paris pour avoir une belle carrière. Il est possible même d’avoir plus de responsabilités et devenir plus rapidement associé d’une structure à Rennes qu’à Paris.

S’agissant des compétences dont doit disposer un avocat, je leur conseillerais de s’intéresser au soft skills, c’est à dire à toutes ces compétences annexes de la profession d’avocat comme la communication ou le développement commercial d’un cabinet ou les nouvelles technologies qui changent nos manières d’exercer. 

Le droit international est-il important dans votre domaine ?

Oui, en matière de propriété industrielle, l’aspect international est important, par exemple lorsque l’on dépose des brevets à l’étranger, ou que l’on rédige des contrats de distribution. Ainsi il faut être qualifié et compétent sur le droit européen et le droit français pour conseiller une société qui décide d’exploiter un brevet en France par exemple. Dès lors que l’on accompagne des entreprises qui commercialisent des produits à l’étranger, il est nécessaire de maîtriser les aspects commerciaux du droit international. En revanche, on ne peut pas connaître le droit de chaque pays. Il est donc important de développer un réseau de correspondants juristes sur les territoires concernés. Dans le cadre de mon activité, je dispose de correspondants sur de nombreux territoires, avec lesquels je communique quotidiennement en visioconférence ou mail. Il m’arrive de voyager pour les rencontrer mais ce n’est pas une obligation professionnelle, plutôt un plaisir. 

Quels conseils donneriez-vous à des avocats en début de carrière qui s’interrogent sur le développement de leur clientèle ?

En début de carrière, il ne faut pas hésiter à tenter de se constituer une clientèle personnelle au lieu d’attendre des années pour cela, la clientèle personnelle étant la clé de la sérénité d’un avocat. 

En revanche, ce n’est pas simple commercialement de se faire connaitre et intellectuellement de lutter contre le syndrome de l’imposteur. 

Je leur conseillerais donc de ne pas hésiter à se former pour pouvoir prendre des commissions d’offices et des gardes à vues, même s’ils ont une formation centrée vers le droit des affaires. Cela leur permettra de découvrir l’aspect libéral du métier, de se faire un complément de revenu en plus de la collaboration et l’expérience leur servira tout au long de leur carrière quelle que soit la matière dans laquelle il exerce. 

C’est ce que j’avais fait à mes débuts, et j’exerce aujourd’hui en propriété intellectuelle, droit de l’innovation et droit des affaires donc rien à voir a priori. Cela permet également de découvrir l’enjeu de l’accès au droit et à l’avocat pour le justiciable. 

Par ailleurs, je pense qu’il est important de diversifier ses expériences. Cela est plus difficile à Paris où la concurrence pousse très tôt à la spécialisation dans un domaine précis du droit. Pour cela, exercer au sein d’un barreau comme Rennes offre plus d’opportunités pour ceux qui veulent diversifier leur exercice en début de carrière. 

En début de carrière, on doit accepter un peu tout type de clientèle, puis, au fur et à mesure de l’exercice, on finit par avoir la possibilité financière de choisir la clientèle et les dossiers que l’on souhaite traiter. Mais au début, il faut être honnête, on a besoin d’argent pour vivre.

C’est pareil pour les collaborations. Si l’associé ne paye pas correctement son collaborateur ou ne lui offre pas un cadre de travail où s’épanouir, il ne restera pas. L’aspect financier est très important comme dans toute activité libérale. 

Selon vous est-il plus intéressant de commencer en tant que juriste ou en tant qu’avocat ?

Ce sont deux métiers similaires mais avec des différences substantielles. Un juriste travaille en tant que salarié dans une entreprise avec laquelle il a un lien de subordination. L’avocat est indépendant et libéral, il a donc sa propre entreprise.

Dans les faits, ils peuvent effectuer les mêmes taches. Il y a des anciens avocats devenus juristes en entreprise, des juristes en cabinets d’avocats, la frontière n’est pas si marquée que ce que l’on dit. 

La grande différence demeure dans l’indépendance et la déontologie de l’avocat, ce qui n’est pas une obligation pour le juriste. Même si les récents projets de loi sur le legal privilege tendent à remettre cela en question pour le juriste.

En tout cas, rien n’oblige à exercer le métier d’avocat ou celui de juriste, cela reste un choix personnel. En revanche, il y a peut-être un avantage avec le diplôme d’avocat. En effet certaines entreprises reconnaissent une différence de statut voire de rémunération entre un juriste ayant le diplôme d’avocat et celui qui ne l’a pas.  

Pour ceux qui hésitent à tenter l’examen, je recommanderais quand même de le faire dans le prolongement de leurs études de droit. Après être sorti du milieu étudiant pour commencer à exercer comme juriste, il sera psychologiquement – et peut-être matériellement – plus difficile de retourner à la préparation de l’examen d’avocat. 

Vous êtes avocat associé, mais quelle est la différence entre un avocat collaborateur et un avocat associé ?

La précision d’être avocat associé fait surtout référence à une structure qui regroupe des avocats collaborateurs et des avocats associés. 

Il est rare de pouvoir s’associer à un cabinet lorsque l’on commence. Être associé, c’est comme gérer une entreprise avec des salariés. Il faut avoir de l’expérience, l’envie de manager et une capacité d’entreprendre. C’est souvent après avoir accumulé un peu d’expérience que l’on devient associé, ou que l’on décide de créer son cabinet ou de rejoindre une structure avec d’autres associés.

Pour ceux qui le souhaitent, il est toutefois possible d’exercer seul en créant son cabinet, soit au début de sa carrière (plus rare), soit après avoir déjà exercé en cabinet. Mais pour cela, il faut avoir une clientèle, ou reprendre un cabinet existant.

Plus généralement, on commence avocat collaborateur d’un cabinet existant soit comme collaborateur libéral – le cabinet est alors notre client privilégié et nous rémunère via une rétrocession d’honoraire, soit comme collaborateur salarié – le cabinet nous rémunère alors avec un salaire. Être avocat libéral, c’est un moyen de commencer avec une rémunération tout en prenant le temps de développer une clientèle. En revanche, le collaborateur salarié n’a pas de clientèle propre mais il bénéficie des avantages du salariat, notamment en cas de rupture de contrat. 

S’agissant de la question de l’argent, comment fixez-vous vos honoraires ?

Les avocats travaillent au forfait ou à l’heure. Personnellement, je privilégie le travail au forfait, beaucoup plus lisible pour les clients. Cela nécessite de bien jauger le temps de travail que je mets pour effectuer la mission confiée par un client. Je pratique également le taux horaire lorsque je ne sais pas quel temps je vais mettre pour effectuer cette prestation, notamment en matière de contentieux, ou de négociation.

Comment vous organisez-vous pour travailler avec vos interlocuteurs étrangers ? Comment vous adaptez-vous aux différents fuseaux horaires ?

Il s’agit d’une question d’organisation. Par exemple, j’ai un associé en Chine et il y a 7 heures de décalage. Dès lors, je fixe nos rendez-vous le matin en France, ce qui correspond à la fin de journée en Chine. Lorsque j’effectue des dépôts de brevets aux États Unis ou au Canada, je le fais dans l’après-midi. Il faut s’organiser afin de ne pas être pris de cours, et ne pas finir tard en fonction des différents fuseaux horaires, et ainsi ne pas travailler dans l’urgence. S’agissant de l’organisation, en tant qu’indépendant, l’avocat dispose d’une certaine autonomie dans la gestion de son travail et de ses rendez-vous. L’important est de préserver un équilibre entre vie personnelle et professionnelle, et de préserver les heures consacrées à la vie de famille.

Vous êtes membre du Conseil de l’ordre, Pourriez-vous nous expliquer quel est votre rôle au sein du Conseil de l’Ordre des avocats de Rennes ?

Je suis chargé de la commission sur la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) au barreau de Rennes ainsi que la communication numérique du Barreau. J’organise des ateliers et conférences afin de sensibiliser les collaborateurs aux nouvelles technologies par exemple. 

Vous êtes président de l’incubateur du barreau de Rennes, pourriez-vous nous dire en quoi consiste cette association et quelles sont ses missions ?

L’association accompagne les avocats sur plusieurs aspects liés à l’évolution de la profession.

Notre objectif est de favoriser l’accès au droit et aux avocats pour les citoyens et d’aider les avocats à mettre en place des outils qui simplifient leur quotidien.

Nous intervenons auprès des avocats par le biais de conférences, d’ateliers, de formations. 

La dernière conférence portait sur le RSE, avec notamment l’idée de trouver un juste équilibre entre vie professionnelle et vie privée. A ce titre nous avons abordé la formation de l’avocat collaborateur libéral, qui travaille à temps plein dans un cabinet, avec une rétrocession et doit également développer sa clientèle. Ainsi l’avocat collaborateur libéral doit concilier le développement de sa propre clientèle et son temps de travail pour le cabinet, ce qui conduit à un risque de surmenage si le cabinet lui demande une quantité trop importante de travail. Il est important que les cabinets laissent le temps aux collaborateurs de développer leur clientèle.

Nous intervenons également auprès des avocats sur des aspects et pratiques liés aux technologies, comme la création de sites internet, ou d’adresses e-mail. A ce titre, nous insistons sur la sécurisation des données. En effet, un nombre important des adresses e-mails des avocats sont des adresses qui ne sont pas encore sécurisées, et il est primordial de sécuriser des données confidentielles. Nous intervenons également sur l’aspect stockage des dossiers. Il s’agit notamment d’apporter une aide aux avocats qui utilisent toujours les archives, avec un stock de papiers important, afin de les accompagner dans la numérisation de dossiers pour gagner de l’espace et du temps dans leurs recherches.

L’objectif de l’association n’est pas lucratif mais bien de partager nos connaissances et d’aider les avocats à suivre les innovations de notre profession. D’ailleurs, l’association va bientôt changer de président. Malgré le plaisir que j’ai trouvé dans cette fonction, je reconnais que ce poste nécessite beaucoup de temps, a fortiori lorsqu’il faut organiser une formation ou une conférence. Or, en tant qu’associé, j’ai déjà une activité intense, aussi, je préfère passer la main à un autre avocat tout aussi passionné que moi par les évolutions technologiques, environnementales et sociétales de notre profession.

En tant qu’avocat, et président de l’incubateur, que pensez-vous de la place des intelligences artificielles ?

Les intelligences artificielles sont un outil qui doit être maîtrisé afin de gagner en efficacité et en productivité. Elles peuvent être très utiles au quotidien. Toutefois, elles ne remplacent pas l’humain, et surtout pas un avocat. Elles sont un complément et une aide dans la réalisation de tâches, pas un remplaçant à celui-ci.

Je ne pense pas qu’il faut être pour ou contre les IA sans comprendre avant ce qu’elles sont. Il faut s’y former, car cela fait partie de notre présent. Il faut également en comprendre l’intérêt et les limites. 

C’est pour cette raison que la prochaine formation au sein de l’association de l’incubateur sera sur l’utilisation de Chat GPT.

Vous êtes également enseignant, pourriez-vous nous dire ce que vous enseignez ? 

Oui je suis chargé de Travaux dirigés pour les étudiants en droit notamment la matière « contrat de transfert de technologies » du Master du Diplôme de Juriste Conseil en Entreprise de Rennes ainsi que la matière « contentieux européens » du Master Droit Européen de Rennes.

Quelles sont selon vous les qualités requises pour être un bon chargé de TD ?

Il faut avoir de bonnes qualités pédagogiques et l’envie de transmettre. Il faut aussi des compétences pratiques et pas seulement théoriques. En effet, il faut certes avoir de bonnes connaissances théoriques du droit, mais il faut surtout savoir comment cela se concrétise dans la réalité. A ce titre, il me semble que les avocats apportent un regard concret et que leur expérience est importante pour les étudiants. L’objectif est de former de futurs professionnels. Il faut donc les aider à s’interroger pour qu’ils soient aptes à conseiller leurs futurs clients et leur proposer des solutions réalistes. En tant qu’enseignant, mon rôle est de former les étudiants à analyser, conseiller et à repérer les risques pour qu’ils apportent toutes les précautions utiles au traitement des demandes de leurs futurs clients.

En tant qu’enseignant, pensez-vous qu’il est important de sortir le droit de l’université et de l’enseigner aux enfants dès l’école ?

Oui, je considère qu’enseigner le droit aux enfants est important. Le droit est partout autour de nous, de notre naissance à notre mort. Il faut donc que chacun s’approprie le droit en général et ses droits en particulier. Il s’agit d’une nécessité pour assurer l’égalité entre tous dès le plus jeune âge. Il est essentiel que les enfants comprennent que le droit est partout, et que c’est ce qui nous permet de vivre ensemble au quotidien. Il convient de vulgariser le droit en leur rendant accessible pour les aider à comprendre et identifier certaines situations contre lesquelles ils doivent se défendre comme par exemple le harcèlement ou le cyberharcèlement à l’école. 

Or, s’agissant d’un jeune public, l’approche ludique me semble importante, et j’apprécie l’approche développée par l’association Patrimoine Commun et aijedroit.com qui vise à sensibiliser les jeunes en leur permettant de s’amuser et de passer un bon moment. Cela permet aux enfants d’avoir une approche positive du droit, loin de l’image négative parfois véhiculée dans les médias. Il est essentiel d’inculquer le droit aux enfants dès l’école, pour qu’ils soient conscients de la protection qu’il leur apporte. A ce titre, je trouve intéressant le fait d’exposer le droit aux enfants par les jeux, la Bande Dessinée, ou des dessins animés comme vous le faites avec l’association Patrimoine Commun et aijedroit.com. En effet, l’exercice de la vulgarisation est complexe, il faut beaucoup de travail pour véhiculer des éléments de façon simple afin que les enfants comprennent par le biais d’images, de petites vidéos. Il s’agit d’un véritable travail de simplification, qui nécessite des compétences juridiques et pédagogiques, et du temps puisque vos bénévoles interviennent toute l’année en école. 

Quel conseil auriez-vous pour les enfants qui s’intéressent aux métiers du droit et aux nouvelles technologies ?

Je leur dirais que les métiers du droit évoluent au même rythme que notre société. Pour celles et ceux qui sont intéressés par l’innovation et les nouvelles technologies, il y a de nombreuses opportunités en tant que juriste ou avocat. Il ne faut donc pas se limiter et il faut croire en soi et en ses rêves. Il faut se faire confiance et faire ce qu’on aime. L’essentiel est de trouver un domaine qui leur permette de vivre leur passion. Pour ma part, j’ai un fort attrait pour le numérique et la création, et je suis très heureux de pouvoir vivre ma passion au quotidien. Aussi, je leur dirais que rien n’est impossible dès lors qu’on le fait par envie et qu’on se donne les moyens de réussir.

Comment pouvons-nous vous joindre ?

Je reçois sur rendez-vous du lundi au vendredi. 

Mon cabinet est situé 32 rue de Redon à RENNES

Secrétariat :

Tel. : 0221970000

E-mail : rennes@adaltys.com

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Tél : 0221970001

E-mail : paul.brender@adaltys.com

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Notre objectif est de réaliser un site participatif et collaboratif. Ainsi, dès la conception de ce site, nous avons sollicité des élèves de collèges et lycées pour cerner leurs attentes et y répondre. Nous avons également fait appel à des enseignants, et des professionnels du droit pour élaborer le contenu du site en collaboration avec les élèves. Chaque étape du développement de ce site fait l’objet d’une concertation. Notre souhait est que les élèves, et toute personne sensible au droit, puisse proposer des sujets et formuler des réponses en collaboration avec des juristes. Si vous voulez proposer un sujet, ou rejoindre notre équipe de bénévoles, n’hésitez pas à nous contacter pour en échanger.

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